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Bienvenue

Après quelques années en Chine, puis en Martinique, me voilà de retour à Paris, du moins pour un certain temps; les pérégrinations vont sûrement continuer...  

Bonne visite sur ce blog.

Elise

dispo

Si vous cherchez un pigiste à Shanghai, contactez-moi.

Archives

Comme disait Jules Renard dans son Journal:

 

"Ajoutez deux lettres à Paris: c'est le Paradis!"

7 octobre 2013 1 07 /10 /octobre /2013 17:54

Après quelques années au loin, l'Empire du Milieu m'accueille à nouveau. Avec mari et enfant cette fois. Décollage ce soir ! On va tacher de donner des news de temps en temps via ce blog.

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24 septembre 2008 3 24 /09 /septembre /2008 20:45
Chers lecteurs,
Une sélection de photos, prises à Pékin pendant les jeux olympiques, est désormais en ligne. Cf album, dans la colonne de droite!
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23 août 2008 6 23 /08 /août /2008 13:49

Pékin, le 11 août, 16h. Place de la Paix Céleste (Tiananmen Guangchang). Les autorités peuvent faire la pluie et le beau temps, mais là, c'était le ciel gris pékinois habituel.

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22 août 2008 5 22 /08 /août /2008 11:41

Une serveuse m’a demandé si je savais lire. Elle m’a écrit ces phrases. Charmante attention.

开心也是过一天

不开心也是过一天

何必不开开心心的过每一天呢

Avec mon chinois primaire, je traduirai par : Quand on est content la journée se passe. Quand on n’est pas content, la journée se passe aussi. A quoi bon ne pas être content, on doit vivre tous les jours.  (Maman, tu me contredis quand tu veux).

Notez que j'ai réussi à refourguer mon billet de 50 kuais dans un resto. Fierté primaire.

Notez également que la censure m'ennuie. Je ne pense pas entretenir un blog subversif, mais je ne peux pas y accéder ici. Seule l'administration marche. Je peux donc publier des articles, mais pas les lire... Du coup, je me suis mis à la joie de la découverte des proxy. Petite inquiétude cependant, quand enfin j'accède à une page de mon blog, il y a plein de symboles curieux qui remplacent les caractères avec des accents. J'espère que vous, dans la vraie vie, vous pouvez lire avec plus de facilité.
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21 août 2008 4 21 /08 /août /2008 10:18

Côté olympique, les chinois s’intéressent aux épreuves quand il y a des chinois en lice. Dans ce cas, les foules se massent devant les écrans géants installés presque partout, notamment dans tous les shoppings mall, bus et métros, et pour les chanceux dans les stades. Le reste du temps, ces derniers sont désespérément vides ou à moitié vides…  au grand dam de tous ceux qui n’ont pu acheter de tickets, mais l’aurait souhaité.

Lundi, le gymnase de Handball était quasiment désert alors que la France affrontait la Pologne pour son dernier match de poule. Certes il était 20h45 au début de la rencontre, un horaire quelque peu tardif pour les Pékinois. Mais tout de même, c’est enrageant pour ceux qui, vraiment, luttent pour trouver des places.

J’ai oublié de me méfier des contrefaçons, dont je parlais plus haut. Quelqu’un m’a refourgué un billet de 50 kuais. Il paraît qu’il est faux, je ne peux rien payer avec, on me le refuse et c’est pas faute d’essayer. Peut-être qu’il finira par passer…

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20 août 2008 3 20 /08 /août /2008 12:32

Scène de la vie ordinaire. Dans le square, devant l’église St truc (dont j’ai oublié le nom) qui donne sur le nord de la Wangfunjing jie, Chine ancienne et moderne se côtoient. Quatre sages () musiciens aux cheveux blancs, assis sur un banc public, ravissent nos oreilles -fatiguées d’entendre l’hymne national chinois à chaque médaille d’or- en jouant de leurs petites guitares à trois cordes traditionnelles. Derrière eux, c’est le ballet incessant des nouveaux « djeun’s » chinois. Ils portent un baggy et des van’s et s’emploi à donner une nouvelle jeunesse au perron de l’église en faisant des acrobaties dessus avec leur skate board. Quand leurs chutes sont un peu trop bruyantes, les joueurs d’échecs chinois lèvent le nez, font la moue, et se replongent dans leur partie.

La Wangfujing jie, pompeusement qualifiée de « Champs Elysées de Pékin »est toujours fidèle à elle-même. Avec sans doute un ou deux shopping mall de plus. Quand au yashow market et au silk market, ils sont aussi toujours là. Pour calmer les « international brand co. », une médiatique lutte contre la contrefaçon avait été amorcée. Mais que les aficionados du fake market se rassurent, on y trouve toujours autant de copies que l’on souhaite. J’ai l’impression toutefois que la qualité des copies se dégrade. C’est de plus en plus mal contrefait. Notez également que les innombrables étrangers accourus pour les jeux marchandent peu (ou moins bien que les expats) et les prix s’envolent. Snif.

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19 août 2008 2 19 /08 /août /2008 18:31

Je délaisse ce blog, à mon grand désarroi. Ce n’est pas faute d’avoir ou non des choses à raconter, mais faute de temps, ou plutôt faute de prendre le temps. Je ne me considère pas comme une bloggeuse, mais il est vrai que les bloggeurs à temps plein –de plus en plus nombreux- alimentent plus facilement leur blog (belle lapalissade, n’est-ce pas ?).

Pékin, août 2008.

La capitale chinoise a bien changé d’apparence, comparée à ce qu’elle pouvait être en l’an 2000 par exemple. Mais certaines choses ne changent pas. Les chauffeurs de taxi et autres Pékinois  ont toujours leur terrible accent, à couper au couteau. Quelle manie d’ajouter des « » (« er » en pinyin, ce qui pourrait correspondre à « ouar ») à chaque fin de mot ? Ca ne facilite vraiment pas la compréhension de ceux à qui il a été enseigné un putonghua « biaozhong » ! Grr.

Cela donne tout de même quelques fous rires. Après celui dont je vous parlais précédemment, je dois en souligner un autre. Avec un autre chauffeur de taxi. Je lui donne une adresse « Chaoyang gongyuan », qui se transforme en « Chaogyang gongyuanr » quand il répète. Sur votre écran, la différence est faible, mais ceux qui l’ont vécu savent de quoi je parle. Après réflexion –à ce niveau là c’est même peut-être de la cogitation- J’acquiesce. Oui, « chaogyang gongyuan , nanmen» ! « Chaoyang gongyuanr nanmenr ». Pour les initiés, il s’agit du même genre de scène que lorsque JC tentait de faire prononcer « kaixuemen » en Shanghaien à Bonne Maman...

Oh, dui de ! 对不起我没有北京的发音 ! Après un gros fou rire communicatif de mon chauffeur, tout le reste du trajet, il m’a fait répéter des dizaines de phrases en ajoutant un « er » à la fin. Entrecoupés de grands éclats de rire.

Quoiqu’on en dise, j’ai la ferme impression que Pékin est moins pollué qu’à l’ordinaire. Profiter d’un ciel bleu trois fois dans la même semaine me semble totalement inhabituel. Bien sûr, il suffit de quelques heures pour que mes lentilles collent et deviennent complètement désagréables à porter, mais peut-être me faut-il aller voir un opticien…

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19 août 2008 2 19 /08 /août /2008 12:37
C'est avec un grand sourire que j'ai accueilli la tant attendue question. Déjà 10 jours à Pékin, sans l'entendre. C'était curieux.

你结婚了吗? Ni jiehun le ma? Es-tu mariée? Cela fait partie de la série des 5 incontournables questions qu'un chinois pose à brûle pourpoint à chaque étranger qui croise sa route. De quel pays viens-tu? Quel âge as-tu? Es-tu marié? Que fais-tu comme travail et combien d'argent gagne-tu? Le péalable indispensable à toute conversation. Notamment avec son chauffeur de taxi.

10 jours sans l'entendre, c'était curieux, voire même suspect. En fait, suivant les recommandations persuasives du gouvernement municipal de Pékin, les habitants de la capitale ont appris à refrener ces questions existentielles (pour eux). Car, explique le parti "elles mettent les étrangers mal à l'aise".

C'est peut-être contraire à la bienséance occidentale, mais ces questions m'ont toujours plu. Au moins, les chinois sont directs, les mots employés sont simples, le ba-ba des premiers cours de chinois -à mettre en pratique tout de suite-. C'est donc avec plaisir que j'ai entendu hier mon chauffeur me les poser. Et c'est avec un plaisir encore plus malin, que j'ai repris le vieux jeu habituel de mes années Shanghaiennes: dès la 1re question, enchaîner les réponses de toutes les autres. Effet garanti, c'est le fou rire interminable pour le chauffeur, dès qu'il saisit le jeu, et pour moi!



*Es-tu mariée?
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10 août 2008 7 10 /08 /août /2008 15:53
Quatre aéroports, 18 heures de vol et X heures de transit dont récupération de bagages, transfert d'Orly à Roissy grâce aux Gramps et à la doud, et multiples enregistrements compris, me voilà à Pékin depuis samedi 9 août!
Pour ceux qui savent de quoi je parle, je vis à nouveau dans l'appart de Sophie (Cangnan Hutong), celui qu'on avait squatté à 10 au retour de Mongolie...
Pékin est tout beau tout propre, et le système de circulation alternée est au top. Faut l'avouer. Le trafic est presque fluide. Alors qu'autrefois, il ne l'était qu'entre 2h30 et 2h45 de la nuit. Y aussi des flics partout et des mouchards bénévoles qui sont en fait les vieux qui traînaient dans les rues, à mater les gens et jouer aux échecs chinois. On leur a rajouté un T-shirt d'uniforme et ils font toujours la même chose qu'avant... pétasser. Mais avec un unif sur le dos. Du coup, ils jouent moins aux échecs.

Par contre, le missile a éviter la pluie ne semble pas être 100% opérationnel et la pollution est encore à couper au couteau.

Voici ce que j'ai pu admirer du fameux "Nid d'oiseau", le stade olympique de Pékin.
 
Espérons que ça va se lever un peu d'ici la fin du mois.
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11 juin 2008 3 11 /06 /juin /2008 18:35

Journal, magazine, radio… vous avez besoin d’un correspondant en direct de Pékin pour les Jeux Olympiques ? Ne cherchez plus et contactez-moi via ce blog. Une collaboration est envisageable.

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